Top of main content

Flash d'information financière – Septembre 2025

24/09/2025, updated 30/09/2025
Incertitude
obligataires
Management packages
Mandats autocalls

En Europe la dégradation de la note souveraine française par Fitch souligne les tensions budgétaires, tandis que les taux convergent vers ceux de l’Italie. La croissance reste modeste mais positive, portée pas une résilience relative malgré un marché de l’emploi en ralentissement.

France sous surveillance, Europe en équilibre

La nomination de Sébastien Lecornu au poste de Premier ministre français a suscité peu de réactions sur les marchés. L’équation parlementaire demeure néanmoins incertaine : l’absence de consensus à l’Assemblée nationale pourrait compliquer l’adoption du budget.

Dans ce contexte, les rendements souverains français se sont rapprochés de ceux des BTP italiens (Buono del Tesoro Poliennale), conformément à la tendance identifiée cet été (Done Deal, 28 juillet). Il n’est pas exclu que la BCE soit interrogée sur son éventuelle capacité à soutenir la dette française, si cela devenait nécessaire, lors de la conférence de presse prévue aujourd’hui.

Enfin, l’agence américaine de notation Fitch a récemment abaissé la note souveraine de la France de AA- à A+, invoquant notamment les difficultés budgétaires et l’incertitude politique. Cette décision reflète une perception accrue du risque de dérapage des finances publiques, tout en maintenant la dette française dans la catégorie « investment grade ». Les conséquences de cette révision pourraient se traduire par une hausse du coût de financement de l’État et un élargissement potentiel des spreads, bien que la réaction immédiate des marchés ait été contenue.

Plus globalement, les taux souverains européens ont légèrement reculé, tandis que les marchés actions, y compris le CAC 40, ont prolongé la dynamique haussière initiée aux États-Unis, portée par le repli marqué des taux implicites américains après la publication de chiffres d’emploi décevants.

Au Royaume-Uni, la persistance de tensions inflationnistes, conjuguée à des déclarations prudentes de la Banque d’Angleterre, laisse entrevoir une pause monétaire jusqu’en avril, avant un possible assouplissement.

Concernant l’activité, le PIB de la zone euro est ressorti inchangé à +0,1 % au deuxième trimestre, un chiffre supérieur aux anticipations, malgré un marché de l’emploi en phase de ralentissement. Au Royaume-Uni, la disponibilité accrue de la main-d’œuvre et la décélération des salaires en août traduisent cette tendance, bien que les ventes au détail soient demeurées dynamiques durant l’été.

En Allemagne, la production manufacturière a connu une embellie en juillet, laissant entrevoir une stabilisation, même si le secteur de la construction reste fragilisé.

Matières premières Focus sur la géo-économie

(Analyse Paul Bloxham et son équipe)
 

Reading story book


1. La géo-économie comme facteur de volatilité.

Les évolutions géopolitiques et les politiques économiques sont désormais utilisées comme instruments de politique internationale, contribuant à accentuer la volatilité des marchés des matières premières. Les exemples récents incluent la guerre Russie-Ukraine, les sanctions, les droits de douane américains, les restrictions chinoises sur les terres rares, les ajustements de l’OPEP+ et les tensions au Moyen-Orient.

2. Des cycles plus courts et plus fragmentés.

Selon la Banque mondiale, les marchés des matières premières se caractérisent par une fragmentation accrue et des cycles de prix désormais deux fois plus courts qu’auparavant (deux ans au lieu de quatre). L’outil statistique COCCLES de HSBC confirme une mutation structurelle de la dynamique des prix.

3. Forts contrastes sectoriels.

L’indice global des prix masque d’importantes divergences : l’or évolue à des niveaux records, tandis que le cuivre, l’acier et l’aluminium se montrent particulièrement volatils. Le pétrole demeure sensible aux événements géopolitiques. HSBC anticipe une hausse globale des prix des matières premières de +3 % en 2025, suivie d’un recul de -2 % en 2026, avant une stabilisation en 2027.

4. Les politiques américaines en première ligne.

Les orientations de politique commerciale des États-Unis ont un impact significatif sur les marchés, les droits de douane étant utilisés comme instruments multifonctions. Les annonces récentes concernant la Russie, la Chine ou encore le Brésil ont eu des effets immédiats sur les marchés énergétiques et agricoles.

5. La Chine et la dépendance asymétrique aux terres rares.

La Chine, qui concentre 87 % de la production mondiale, utilise cette position dominante à des fins stratégiques, créant une dépendance asymétrique pour ses partenaires commerciaux.

6. Politiques chinoises et métaux.

La réduction des capacités de production d’acier et de lithium en Chine exerce une pression haussière sur les prix du lithium, tandis que le ralentissement immobilier pèse sur la demande globale de métaux.

 

7. Transition énergétique et marchés des métaux.

L’accélération de la transition énergétique chinoise implique une hausse de la production de charbon et un investissement massif dans le nucléaire. Parallèlement, la montée en puissance des véhicules électriques et l’électrification de l’économie transforment les marchés du cuivre, du cobalt et du lithium.

8. Pétrole et gaz : abondance malgré la volatilité.

L’OPEP+ a rapidement levé ses coupes de production, intégrant des considérations géo-économiques. Malgré les sanctions, le pétrole russe continue d’être exporté, principalement vers la Chine et l’Inde. Sur le marché du gaz, l’Europe pourrait connaître des tensions hivernales, mais l’augmentation attendue de l’offre mondiale de GNL à partir de 2026 devrait contribuer à stabiliser les prix à moyen terme.

9. Or : valeur refuge renforcée.

Les banques centrales détiennent désormais plus d’or que de bons du Trésor américain, un mouvement qui accompagne la demande de sécurité face aux incertitudes monétaires et géopolitiques.

10. Produits agricoles : marchés sous pression.

Les politiques protectionnistes et les tensions commerciales mondiales affectent directement les denrées alimentaires, dont les échanges ont fortement chuté, notamment entre la Chine et les États-Unis. La volatilité devrait demeurer élevée sous l’effet combiné du climat, du commerce et des tensions géopolitiques.

Réforme du régime des management packages

Alors que la rentrée a sonné, il est l’heure de revenir sur les principales activités juridiques et fiscales qui ont animé cet été. L’administration fiscale s’est montrée particulièrement prolifique durant cette période en mettant à jour ces commentaires sur plusieurs publications doctrinales (BOFIP : Bulletin Officiel des Finances Publiques Impôts). Nous nous attarderons tout particulièrement sur les commentaires portant sur la réforme des management packages introduit dans la loi de finances 2025. Et nous irons du côté Palais du Luxembourg avec une réponse du garde des Sceaux qui nous éclaire sur le mécanisme du cantonnement.

 

L’administration a publié cet été de nombreux commentaires, la plupart viennent éclairer les dispositions issues de la loi de finances pour 2025 : taxe sur les réductions de capital liées au rachat de titres, contributions exceptionnelles des grandes entreprises… Nous nous focaliserons sur ceux portant sur le nouveau régime d’imposition des management packages (nouvel art. 163 bis H du CGI). Ce nouveau régime fiscal et social s’applique « au gain net réalisé sur les titres souscrits (…) par des salariés ou des dirigeants (…) qui est acquis en contrepartie des fonctions de salarié ou de dirigeant dans la société émettrice de ces titres (…) ». Le gain se trouve par défaut qualifié de salaire et est imposé au barème progressif de l’impôt sur le revenu et soumis à une contribution salariale spéciale de 10 % (soit un taux de 59 % en ajoutant la contribution exceptionnelle sur les hauts revenus). Ce nouveau régime permet de conserver une imposition du gain dans les mêmes conditions que les plus-values (taux jusqu’à 34 %) pour la part du gain qui n’excède par un seuil de performance financière de la société.

Mais ni l’article du CGI, ni le BOFIP (BOI-RSA-ES-20-60) ne définissent la notion de « en contrepartie de ». L’administration se limite à donner des pistes d’identification (atteinte de niveaux de performance, obligation au salarié ou dirigeant de respecter certaines stipulations contractuelles – clause de non-concurrence, clause d’incessibilité des titres…). 

L’administration ne donne pas non plus d’indication sur l’articulation du gain en présence de différents instruments de management packages (actions n’offrant aucun effet de levier, AGA, mécanisme de « ratchet »…). 

Malgré ces lacunes, le BOFIP apporte des clarifications essentielles sur de nombreux points. C’est notamment le cas concernant l’articulation de ce nouveau régime avec les opérations de sursis et de report d’imposition. L’administration précise que la part du gain imposée selon le régime des plus-values bénéficie de plein droit aux mécanismes de sursis ou de report d’imposition. Mais l’administration reste muette s’agissant des opérations de donation-cession. Pas plus de précisions sur les titres détenus au sein d’un PEA.

Ce BOFIP est en consultation publique. L’administration offre ainsi aux professionnels d’apporter leurs commentaires ou de souligner des interrogations avant la publication de la version définitive.

Cantonnement : réponse ministérielle du 21 août

Avant d’analyser la réponse ministérielle, revenons sur la notion de cantonnement (articles 1002-1 et 1094-1 du code civil et institué lors de la réforme des successions – loi du 23 juin 2006). Il s’agit d’un instrument juridique et qui permet au conjoint survivant bénéficiaire d’une donation entre époux ou à un légataire de renoncer partiellement à une partie de ses droits dans une succession. En limitant ses droits, les biens exclus par le conjoint survivant ou le légataire se retrouvent dans la succession et sont

partagés entre les autres héritiers et sans que cette limitation ne soit considérée comme une libéralité faite aux autres successibles.

L’exemple classique est celui du conjoint survivant, bénéficiaire d’une donation entre époux qui va opter pour la totalité de la succession en usufruit. Le cantonnement va lui permettre de limiter ses droits au seul usufruit portant sur la résidence principale et renonce à l’usufruit sur le reste des actifs de la succession. Les enfants se retrouvent alors nuspropriétaires de la résidence principale et pleins propriétaires des autres actifs.

Le texte de loi prévoit expressément que le cautionnement peut porter sur des biens déterminés (maisons, compte bancaire…), une part indivise (une quote-part de biens) ou ne porter que sur un droit réel tel l’usufruit ou la nue-propriété. Mais le conjoint survivant ou le légataire qui a vocation à recevoir un bien en pleine propriété, peut-il limiter ses droits à la seule nue-propriété ou à l’usufruit en modifiant la nature du droit transmis. Cette absence de précision dans la loi génère une insécurité juridique et peut conduire à des litiges successoraux. D’autant que les interprétations divergent au sein de la doctrine.

La réponse ministérielle publiée le 21 août dernier répond par l’affirmative en indiquant que cette souplesse est conforme à l’esprit du texte. Mais il s’agit simplement de la position de l’exécutif et une réponse ministérielle n’a qu’une valeur juridique faible. Il conviendra d’attendre la validation par les juges du fond et user de la faculté de cantonnement avec circonspection.

Avertissement

Des personnes utilisent frauduleusement le nom de HSBC Private Bank Luxembourg, de sa succursale en France et de ses salariés en promettant des retours sur investissement intéressants au travers d’un prétendu « Compte Rémunéré HSBC ». Ces tentatives d’escroquerie font référence à des conversations téléphoniques avec des soi-disant employés de la banque ainsi qu´à la protection des avoirs par le fonds de garantie des dépôts et de résolution (FGDR)…

Pour lire la suite : Avertissement | HSBC Private Bank France

Saisir les opportunités obligataires avant le pivot de la Fed

Les commentaires du président de la Fed, Jerome Powell, lors de la réunion de Jackson Hole, laissent entendre que la Fed envisagerait une réduction des taux. Les chiffres de l’emploi, accompagnés de révisions à la baisse significatives, semblent avoir modifié l’évaluation des risques de la Fed, passant de la lutte contre l’inflation à des préoccupations concernant la croissance. Une baisse des taux est anticipée depuis plusieurs mois, et le marché partage cette prévision.

Les flux d’investissement commencent déjà à se rediriger vers les obligations. Avec la baisse des taux directeurs, le coût d’opportunité de détenir des liquidités par rapport aux obligations va augmenter. Nous rehaussons donc notre position sur l’ensemble du marché Investment Grade mondial, car nous souhaitons profiter des rendements attractifs.

Dans cette optique, une analyse des marchés obligataires américains indique que la compensation pour l’inflation est raisonnable, que les spreads sont relativement étroits, mais que les rendements réels sont élevés, avec une courbe qui se pentifie au-delà de 5 ans. Par conséquent, nous pensons que la meilleure valeur ajustée au risque se trouve dans le crédit IG, en particulier dans la tranche de 7 à 10 ans de la courbe. Nous privilégions ces obligations par rapport à celles ayant une maturité plus courte ou de moindre qualité.

Les réductions de taux de la Fed pourraient entraîner une volatilité persistante pour le dollar, car le marché des changes est désormais principalement influencé par les variations des taux. Nous renforçons donc notre attention sur la diversification des devises.


La combinaison d’un pivot de la Fed, d’une croissance des bénéfices bien supérieure aux attentes au T2, et de l’innovation impulsée par l’IA devrait continuer à soutenir les marchés boursiers. Nous maintenons donc notre surpondération sur les actions, avec une préférence pour les États-Unis, la Chine et Singapour.

Les marchés indiens souffrent d’un manque de confiance des investisseurs étrangers. Bien que ce soit principalement un marché local, les tarifs douaniers très élevés ont affecté la confiance. Malgré les mesures prises par le gouvernement pour soutenir la croissance, et le fait que nous restions optimistes sur les actions indiennes à long terme, nous abaissons tactiquement ces dernières d’une légère surpondération à neutre.

Mandats d’autocalls : une nouvelle manière d’investir sur les produits structurés

Un moyen privilégié de viser une performance stable même dans des marchés peu porteurs.

Les produits structurés associent des caractéristiques obligataires à celles d’autres actifs financiers pour délivrer des performances optimisées selon certains scénarios de marché.

Ainsi, les produits structurés autocalls délivrent un rendement fixe attractif lorsque certaines conditions prédéfinies sont remplies. Ils peuvent être remboursés à l’échéance ou de manière anticipée, selon l’évolution des marchés.

Avec un mandat d’autocalls géré par HSBC Private Bank, vous bénéficiez :

  • D’un rendement optimisé : des performances fixes potentiellement supérieures à celles des instruments obligataires traditionnels
  • D’une diversification accrue : répartition des échéances, des niveaux de protection, des sous-jacents et des émetteurs pour limiter les risques de concentration
  • D’une gestion active : une sélection et un suivi rigoureux afin de saisir les opportunités de marché dans le temps.

Cette stratégie peut répondre aux attentes des investisseurs recherchant à la fois une protection conditionnelle du capital et des rendements optimisés.

Elle s’adresse également aux clients souhaitant : 

  • Diversifier leur stratégie d’investissement au-delà des instruments obligataires
  • Compléter leur exposition en produits structurés avec un portefeuille géré et diversifié

 

Indicateurs

Note à l’attention du lecteur du présent document.
 

Ce document est publié par HSBC Private Bank France, établissement en France de HSBC Private Bank (Luxembourg) S.A., à titre d’information uniquement et ne revêt aucun caractère contractuel. Les informations contenues dans ce document ne constituent ni un conseil en investissement, ni une offre d’achat ou de vente d’un produit ou d’un service financier et ne doivent pas être interprétées comme tels. En outre, ces informations sont uniquement destinées aux ressortissants de pays où leur utilisation n’est pas contraire aux lois ou réglementations locales en vigueur. Il relève de la responsabilité de chaque investisseur de se conformer aux lois ou réglementations locales qui lui sont applicables. Si vous avez des questions concernant les informations figurant dans le présent document, nous vous invitons à contacter votre interlocuteur privilégié ou, le cas échéant, à prendre avis auprès de vos conseils habituels.
 

La teneur du présent document repose sur des informations obtenues auprès de sources considérées comme fiables mais non contrôlées de manière indépendante. Bien que ces informations aient été préparées de bonne foi, aucune déclaration ni garantie, expresse ou tacite concernant leur exactitude ou leur exhaustivité, n’est ou ne sera faite et aucune responsabilité n’est ou ne sera acceptée par HSBC Private Bank France ou le Groupe HSBC ou par aucun de leurs dirigeants, employés ou salariés respectifs. Les informations sont communiquées, les opinions sont formulées et les estimations sont faites sur la base de nos connaissances au moment de la publication du présent document et peuvent faire l’objet de modifications sans préavis, sous réserve de dispositions légales ou réglementaires contraires.
 

Avant d’investir dans un Organisme de Placement Collectif (OPC) de droit français ou étranger ou dans un support en unité de compte adossé à un OPC de droit français ou étranger pour les contrats d’assurance-vie et/ou de capitalisation, vous devez prendre connaissance impérativement et attentivement de la version française du Document d’Information Clé (DIC) et de son prospectus, documents réglementaires disponibles sur demande ou sur ainsi que pour les contrats d’assurance-vie et / ou de capitalisation de la Notice d’Information / des conditions générales et des conditions additionnelles applicables aux clients de la succursale française de HSBC Private Bank (Luxembourg) S.A. 
 

Avant toute décision d’investissement, il vous appartient de vous assurer, avec l’aide de vos conseils habituels, que le ou les supports considérés correspondent à votre expérience, à vos connaissances, à votre situation financière, à vos objectifs d’investissement, à votre sensibilité au risque, ainsi qu’à la réglementation dont vous relevez (et notamment la législation locale à laquelle vous seriez éventuellement assujetti). 
 

Les performances passées ne préjugent en rien des résultats futurs, et doivent être analysées avec prudence. Les investissements, soumis aux fluctuations de marché, peuvent varier tant à la baisse qu’à la hausse, et présentent un risque de perte en capital. 
 

Nous vous rappelons que selon la réglementation en vigueur, les personnes physiques, associations et sociétés n’ayant pas la forme commerciale, domiciliées ou établies fiscalement en France, sont tenues de déclarer, lors de leur déclaration de revenus ou de résultats, les comptes ouverts, détenus, utilisés ou clos à l'étranger ainsi que les revenus afférents. En outre, concernant les personnes physiques, dès la perception de revenus mobiliers par l’intermédiaire de ces comptes, ces dernières doivent s’acquitter des prélèvements sociaux et, le cas échéant, d’un acompte d’impôt sur le revenu. Enfin, sous certaines conditions, la fraction de la valeur représentative d’actifs immobiliers de parts ou actions de sociétés ou organismes détenus sur ces comptes doit être déclarée à l’impôt sur la fortune immobilière si les titulaires concernés en sont redevables.
 

Par ailleurs, selon la réglementation en vigueur, les personnes physiques domiciliées fiscalement en France, sont tenues de déclarer, lors de leur déclaration de revenus, certaines informations relatives aux contrats de capitalisation et placements de même nature, et notamment aux contrats d’assurance-vie, souscrits auprès d’organismes établis hors de France et, le cas échéant, les produits générés sur ces contrats lors d'un rachat total ou partiel. En outre, ces dernières doivent s’acquitter, des prélèvements sociaux exigibles au titre de leur contrat. Enfin, la valeur de rachat des contrats d’assurance rachetables et des bons ou contrats de capitalisation à hauteur de la fraction de leur valeur représentative des unités de compte composées d’actifs immobiliers imposables doit être déclarée à l’impôt sur la fortune immobilière si les titulaires concernés en sont redevables. 
 

En cas de non-respect de ces obligations, les personnes concernées s’exposent à des rappels d'impôts et à l'application de sanctions. Pour plus de précisions concernant les obligations déclaratives et fiscales vous incombant, nous vous recommandons de vous rapprocher d’un conseil indépendant.
 

Conformément aux dispositions du Règlement Général sur la Protection des Données Personnelles (UE) 2016/679 du 27 avril 2016 toutes les données à caractère personnel sont collectées, traitées et conservées conformément à la Charte de Protection des Données Personnelles accessible sur le site :
 

http://www.hsbc.lu/
 

Si vous souhaitez en savoir plus sur l'une des informations de cette Charte de Protection des Données Personnelles, veuillez adresser vos questions, commentaires et demandes à votre interlocuteur habituel ou à http://www.hsbc.lu/ ou à notre Délégué à la Protection des Données qui peut être contacté à l'adresse suivante :
 

HSBC Continental Europe - Délégué à la protection des données

38 avenue Kléber, 75116 PARIS, France 

ou dataprotection@hsbc.fr
 

Il est par ailleurs rappelé que, conformément à la réglementation applicable, tout consommateur dispose de la possibilité de s’inscrire gratuitement sur la liste d’opposition à démarchage téléphonique : www.bloctel.gouv.fr. Il est interdit à un professionnel de démarcher téléphoniquement un consommateur inscrit sur cette liste, sauf en cas de relations contractuelles.
 

L’activité de banque privée peut être exercée dans le monde entier par différentes entités juridiques du Groupe HSBC conformément aux exigences réglementaires locales. Les produits et les services décrits dans ce document peuvent être proposés par différentes sociétés du Groupe HSBC. Certains produits ou services ne sont cependant pas disponibles dans certaines zones géographiques. Par ailleurs, certaines agences HSBC interviennent en tant que points d’entrée de HSBC Private Bank France mais ne sont pas autorisées à présenter ou vendre des produits et des services, ou encore à offrir des conseils à la clientèle privée. De plus amples informations sont disponibles sur demande. Une liste complète des entités de banque privée est disponible sur notre site Internet, www.hsbcprivatebankfrance.com
 

© Copyright.HSBC Private Bank France. TOUS DROITS RESERVES.
 

Aucune partie de ce document ne peut être reproduite, stockée dans un système de récupération de données ou transmise à quelque fin ou par quelque moyen que ce soit (électronique, mécanique, photocopie, enregistrement ou autre) sans la permission expresse et écrite de HSBC Private Bank France, 38 avenue Kléber – 75116 Paris – France.

HSBC Private Bank France

Etablissement en France de

HSBC Private Bank (Luxembourg) S.A.

Adresse de l’établissement : 

38 avenue Kléber – 75116 Paris (France)

Tél +33 (0) 1 49 52 20 00

SIREN 911 971 083 RCS Paris

TVA intracommunautaire : FR34911971083

HSBC Private Bank (Luxembourg) S.A.

Société anonyme de droit luxembourgeois

Capital social : 160.000.000 euros

Numéro d’immatriculation RCS Luxembourg : B52461

Siège social : 18 Boulevard de Kockelscheuer - L-1821 Luxembourg

Banque et intermédiaire en assurances immatriculé auprès de l’Organisme pour le Registre des Intermédiaires en Assurances sous le numéro 2011CM008 (www.orias.fr

Site internet HSBC Private Bank France : www.hsbcprivatebankfrance.com  

Site internet HSBC Private Luxembourg (S.A). : http://www.hsbc.lu/

HSBC Private Bank France est la succursale de HSBC Private Bank (Luxembourg) S.A. en France.

HSBC Private Bank (Luxembourg) S.A. est agréée en tant qu'établissement de crédit et soumise au contrôle prudentiel de la Commission de Surveillance du Secteur Financier au Luxembourg (CSSF) et est autorisée à exercer ses activités en France à la fois sur la base de la libre prestation de services et par l'intermédiaire de sa succursale.

HSBC Private Bank France est située au 38 avenue Kléber, 75116 Paris, France. 

En plus d'être principalement supervisée par la CSSF au Luxembourg, HSBC Private Bank France est également soumise à la surveillance de l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (ACPR) et de l’Autorité des marchés financiers (AMF) :

L'adresse de contact de l'ACPR est la suivante : 

    Autorité de Contrôle prudentiel et de résolution

    4, place de Budapest

    CS 92459

    75436, Paris Cedex 09

    France

 

L'adresse de contact de l'AMF est la suivante : 

    Autorité des marchés financiers

    17, place de la Bourse

    75082, Paris Cedex 02

    France

This insight is only available when you're logged on.  

 

It is restricted to HSBC customers with the appropriate account details or transaction history.

Unfortunately, this content isn't available based on your account details. 

 

However there's still a wealth of information here for you.