L’inflation a de nouveau surpris à la hausse, poussant les banques centrales à poursuivre le durcissement de leur politique monétaire, « quoi qu’il en coûte ».
L’inflation est devenue un problème mondial et, en ce mois de septembre, la plupart des banques centrales ont décidé d’augmenter leurs taux (Suède, BCE, Suisse, BOE, Taïwan…). La parenthèse des taux négatifs est clairement terminée.
Chère Madame, Cher Monsieur,
C’est avec un grand plaisir que nous vous annonçons que notre banque privée, HSBC Private Banking France, a intégré notre plateforme européenne le 1er octobre dernier.
Nous avons mené ce projet avec l’objectif de faire évoluer notre activité de Banque Privée pour toujours mieux vous servir.
Rejoindre notre entité Européenne HSBC Private Bank Luxembourg S.A, pilote de nos activités de gestion de fortune en Europe Continentale, nous permet dès à présent de vous offrir de nouveaux véhicules d’investissement, outils de gestion et services qui viennent ainsi enrichir notre offre commerciale, avec par exemple, de nouveaux mandats de gestion.
Nous souhaitons, à travers cette évolution renforcer notre capacité à mieux vous accompagner dans vos ambitions familiales et/ou entrepreneuriales grâce à l’offre mondiale de HSBC Private Banking et ce au travers d’une entité basée dans un pays bénéficiant de la meilleure note de crédit AAA.
Il est primordial pour nous, qui plus est face à un contexte économique et géopolitique complexe, de vous apporter des réponses efficaces et adaptées et surtout d’entretenir à vos côtés une relation construite dans le temps.
Vos interlocuteurs restent les mêmes, qu’il s’agisse de votre Banquier Privé, de votre Gestionnaire, de votre Ingénieur Patrimonial ou de votre Conseiller en Investissements.
Pour mener à bien l’intégration de ce projet, nous avons le plaisir de vous annoncer la nomination de Jean-Michel Starck en tant que Responsable de la succursale en France de HSBC Private Bank (Luxembourg) S.A. Il continue d’exercer ses fonctions de Directeur de l’Offre, et d’assurer également la Direction de l’ensemble des services de Gestion Conseillée, de Gestion Sous-Mandat et de courtage en Assurance Vie.
En notre nom et en celui de toutes nos équipes, nous vous remercions sincèrement pour votre confiance renouvelée et la fidélité que vous nous témoignez.
La décision la plus attendue était celle des États-Unis le 21 septembre. Comme anticipé, la Fed a relevé ses taux pour la troisième fois consécutive de 0,75 pb à 3 %-3,25 %, soit une progression de plus de 3 % depuis le début de l’année, moment où l’inflation était encore considérée comme transitoire. Le discours de J. Powell a été particulièrement clair, qualifiant ces hausses de nécessaires pour ralentir l’économie et maîtriser l’inflation. Sa priorité reste un retour vers l’objectif de long terme fixé à 2 % même si c’est au prix d’une entrée en récession.
Cette fermeté était attendue après la publication, le 13 septembre, des indices des prix à la consommation (IPC et IPC Core) pour le mois d’août. L’IPC est un indice économique majeur, calculé en mesurant la variation du prix d’un panier de biens et de services du point de vue du consommateur. Les composantes principales de ce panier sont l’alimentation, le logement, les soins de santé, les loisirs... Il est donc utilisé dans la mesure de l’inflation et des variations de tendances d’achats. L’IPC Core est un autre indice dérivé qui mesure l’inflation dite sous- jacente et qui ne tient pas compte de l’alimentation et des produits énergétiques, dépenses considérées comme saisonnières, volatiles et pouvant générer des distorsions dans les mesures.
Ce second indicateur a surpris à la hausse.
En effet, si l’inflation américaine a légèrement fléchi à 8,3 % en août sur un an glissant (versus 8,5 % en juillet), elle est restée supérieure aux prévisions (8,1 %). Cette baisse est liée au recul des prix de l’énergie et notamment à la baisse de 11 % du prix de l’essence au mois d’août. Celui-ci demeure néanmoins 25 % plus cher qu’il y a un an.
L’inflation sous-jacente, c’est-à-dire hors alimentation et énergie, continue en revanche de progresser (+0,6 % en août à + 6,1 % sur l’année) sous l’effet de :
- la demande intérieure qui ne faiblit pas car les Américains utilisent leur épargne constituée lors du Covid et souhaitent consommer,
- l’évolution des salaires résultant d’un marché du travail tendu avec un taux de chômage au plus bas de près de 50 ans.
Ainsi, les loyers, les soins médicaux, les loisirs, les ventes de voitures… contribuent à l’inflation.
Ces chiffres nous ont amenés à revoir à la hausse nos prévisions d’inflation pour les États-Unis : ils s’établissent désormais à 8 % pour 2022 et 5 % en 2023.
Dans ce contexte, la Fed se doit d’agir pour contrer ce fléau synonyme de perte de pouvoir d’achat, d’augmentation de coûts de financement pour les entreprises et pour l’État, de dévalorisation de l’épargne. Nous avons désormais un objectif à 4,5-4,75 % d’ici au premier semestre 2023 pour le taux directeur américain.
En tant qu’investisseurs, nous devons dès lors intégrer une remontée des taux plus longue et plus forte qu’initialement prévue et tenir compte de son impact sur la croissance économique. Cela nous amène à maintenir notre politique d’investissement prudente.
Le projet de texte a été présenté le 26 septembre en Conseil des ministres et déposé ce même jour devant l’Assemblée nationale. Les travaux parlementaires débuteront le 4 octobre par l’examen du projet de texte par la Commission des finances pour ensuite être discuté en séance à partir du 10 octobre.
Dans un contexte de post-élection législative où le parti présidentiel a perdu la majorité absolue, le vote de ce texte représente un véritable juge de paix pour le gouvernement.
Malgré des aléas particulièrement élevés, les scénarios macroéconomiques retenus par le gouvernement pour le calcul des estimations des dépenses et des recettes semblent optimistes : d’une part, une croissance pour 2022 de +2,7 % et de 1 % pour 2023 et, d’autre part, une inflation en moyenne annuelle de +5,3 % pour 2022 qui diminuerait à +4,2 % en 2023.
Ce texte comporte peu de mesures fiscales. Nous vous présentons les principales ci-après.
Fiscalité des personnes :
Les tranches du barème de l’impôt sur les revenus de 2022 seraient relevées de 5,4 % pour tenir compte de la hausse des prix. Les différents seuils et abattements devraient être revalorisés dans les mêmes proportions ainsi que les tranches des barèmes d’application du taux neutre du prélèvement à la source (PAS) en 2023.
Fiscalité des entreprises :
La principale mesure porte sur la suppression progressive sur deux années de la CVAE (contribution sur la valeur ajoutée des entreprises).
De nombreuses autres dispositions ont pour objet d’accompagner les entreprises pour une transition énergétique et l’utilisation d’énergies renouvelables.
Gageons que de très nombreux amendements seront déposés au cours des prochains jours par les partis d’opposition dont certains devraient remettre sur le devant de la scène la taxe sur les super-profits des entreprises.
Les travaux parlementaires devraient donner lieu à de vigoureuses passes d’armes au sein des deux chambres du Parlement.


Nous avons le plaisir de vous annoncer la nomination de Jean-Michel Starck en tant que Responsable de la succursale en France de HSBC Private Bank (Luxembourg) S.A.
Cette nomination fait suite à l’intégration, le 1er octobre 2022, de HSBC Private Banking France à notre entité « tête de pont » en termes d’activités de gestion de fortune en Europe continentale, HSBC Private Bank Luxembourg.
Jean-Michel continue d’exercer ses fonctions de Directeur de l’Offre pour HSBC Private Bank en France, au Luxembourg et en Allemagne, et ainsi la Direction de l’ensemble des services de gestion conseillée, gestion sous mandat et courtage en Assurance Vie.
Notre principale ambition est de vous apporter le conseil et l’expertise nécessaire au développement de votre patrimoine et d’être, ou de devenir, un partenaire de confiance dans la réalisation de vos projets, même les plus complexes - Jean-Michel
Jean-Michel Starck se tient à votre entière disposition pour échanger avec vous ou vous rencontrer dans nos locaux de l’avenue Kléber à Paris.
Le Metaverse
Comment la prochaine grande opportunité technologique influencera les investissements à long terme
https://www.privatebanking.hsbc.fr/ perspectives/perspectives-investissements/ analyses-et-idees-investissements/le- metaverse/
Même si nous ne prévoyons pas de récession mondiale, les risques sur la croissance ont augmenté au cours des dernières semaines. Le retracement des marchés actions en août a bien vite balayé son rebond enregistré en juillet. Nous pensons que les marchés devraient évoluer sur cette cadence jusqu’à ce que l’inflation soit clairement orientée à la baisse et que les banques centrales ralentissent le rythme de leurs hausses de taux.
Alors que les rendements ont augmenté au premier semestre, une certaine détente s’est en effet installée à partir de la mi-juin, soutenue par les espoirs d’un pivot rapide de la Fed en 2023 et d’un soft landing aux États- Unis. Organiser cet atterrissage en douceur lorsque les attentes de hausse de taux sont si élevées, et que l’inflation reste elle-même ancrée à des niveaux élevés, sera difficile à réaliser. La Fed est déterminée à lutter contre l’inflation à tout prix et nous pensons qu’elle s’en tiendra à sa trajectoire de hausse des taux. Ce sujet concerne également les autres banques centrales à travers le monde.
Tandis que les investisseurs réévaluent les perspectives de marges plus serrées (en raison d’une inflation persistante et de taux plus élevés) et d’une croissance future plus lente des bénéfices, les marchés boursiers devraient voir leur potentiel de hausse plafonner. Dans le même temps, certaines valorisations, historiquement bon marché, suggèrent néanmoins qu’une grande partie des mauvaises nouvelles est déjà intégrée et que la baisse est devenue plus limitée.
Nous restons ainsi fidèles à notre philosophie de ces derniers mois et faisons le choix de maintenir notre surpondération sur les actions américaines par rapport à l’Europe.
Toujours sélectifs dans le choix des secteurs, nous recherchons des sociétés de qualité, disposant de flux de trésorerie positifs et capables de conserver de faibles niveaux d’endettement net. En outre, nous cherchons à générer des revenus par l’intermédiaire de sociétés aux dividendes solides et qui ont mis en place des programmes de rachat d’actions. Ainsi, nous demeurons positionnés de manière défensive en Europe et en Asie, et gardons un équilibre entre les actions de style value et croissance.
Il conviendra d’exploiter les séquences au cours desquelles la volatilité est plus forte, pour renforcer des actions de qualité, et également les fonds alternatifs qui profitent justement de ce contexte.
Certains thèmes structurels gardent aussi leur intérêt au- delà d’une vision à court terme : transition/indépendance énergétique, actions blue chip asiatiques, sécurité.
Nous réduisons notre exposition au segment High Yield au profit des obligations Investment Grade sur des durations courtes. Elles offrent en effet suffisamment de rendement pour un risque mesuré.
Côté devise, la force ininterrompue de l’USD depuis début 2021 restera alimentée par le rythme de hausse des taux de la Fed. Le dollar conservera mécaniquement son attrait du point de vue du différentiel de rendement par rapport aux taux affichés par les autres banques centrales, et notamment la BCE. À mesure que la croissance mondiale devrait ralentir, l’économie américaine devrait selon nous mieux résister que la zone euro ou le Royaume-Uni où une récession est désormais notre scénario de base.
Nous nous dirigeons vers un environnement risk on/risk off, qui est d’ailleurs généralement favorable à l’USD. Côté matières premières, nous restons neutres sur l’or, l’argent et le pétrole, dans un contexte de ralentissement de la croissance et de dollar fort.
Source : GIC octobre 2022
Total Security
Les récents conflits géopolitiques ont fait prendre conscience des vulnérabilités au niveau des États, des entreprises et des individus, et ont accru la demande de sécurité sous toutes ses formes.
Ces fragilités ne sont pas seulement militaires, criminelles ou liées à la propriété, mais comprennent également les chaînes d’approvisionnement, l’énergie, la nourriture, l’eau, les données personnelles et le commerce électronique.
Notre thème d’investissement Total Security inclut tous ces aspects et leurs perspectives pour les investisseurs. La dernière décennie a vu l’expansion rapide et une utilisation plus répandue des services numériques par les gouvernements et les entreprises (dans les secteurs de la finance, de l’éducation, de la santé…) avec l’explosion de l’e-commerce et des services à distance.
La sécurité n’a pas suivi le rythme de ces développements numériques et doit maintenant rattraper son retard. États peu scrupuleux et criminels ont rapidement identifié et exploité ces failles, les trouvant souvent beaucoup plus efficaces, lucratives et à moindres risques que leur déclinaison sous forme militaire ou physique.
Appareils et réseaux non protégés sont autant de points d’accès potentiels pour exploiter ces cibles sans (suffisamment de) défense. Par conséquent, de nouvelles dépenses d’infrastructure doivent désormais intégrer à la fois la sécurité physique et numérique du matériel, des logiciels, et des services pour prévenir et dissuader ces attaques.
Les risques sécuritaires plus larges, sous une forme armée ou politique, le conflit entre la Russie et l’Ukraine, avec ses conséquences en matière d’inflation, ont réduit les approvisionnements et augmenté les prix de nombreux biens, notamment biens, notamment les denrées alimentaires et l’énergie. Les conséquences réglementaires de ce conflit nous conduisent par ailleurs à exercer nos activités en parfaite conformité avec les mesures de sanction et de gel des avoirs applicables.
À tous les niveaux de l’économie, chacun commence à apprendre à vivre avec ces perturbations et leurs impacts négatifs qu’ils auront sur la croissance, les marges et les finances.
Les gouvernements, les entreprises et les particuliers exigeront de plus en plus une plus grande sécurité dans le but de se protéger eux-mêmes, de protéger leur vie privée et leurs données tout en garantissant la sécurité de leurs transactions et de leurs approvisionnements.

Vivre en sécurité est un besoin majeur pour chacun d’entre nous. Il est vital de se sentir protégé physiquement et moralement. Logement, transport, alimentation, achats, loisirs, travail, nous consommons de la sécurité chaque jour, du matin au soir. L’industrie et les services de sécurité composent un ensemble de sociétés d’une grande diversité et répartie sur l’ensemble du globe. Nous comptons 24 différents secteurs d’activités liées à la sécurité avec un CA de 500 milliards
d’USD et une croissance de 8 % à 10 % par an soit 2 à 3 fois supérieure à celle du PIB mondial. Le marché de la sécurité est porté par des moteurs de croissance prévisibles à long terme tels que l’innovation, l’urbanisation et l’accroissement de la réglementation.
Prenons d’abord l’innovation technologique. Toute innovation est porteuse d’un risque nouveau. L’arrivée et le déploiement de l’Internet des objets, du cloud computing, des véhicules autonomes ou de systèmes de paiement augmentent le risque de cyberattaques. Pour y remédier, des entreprises développent en permanence des solutions de sécurité nouvelles, toujours plus performantes. L’urbanisation est un autre facteur de croissance. D’ici à 2050, 66 % de la population mondiale sera urbaine. Les nouvelles villes notamment en Chine et en Inde et la modernisation des villes existantes, impliquent des investissements massifs dans la sécurité : contrôles d’accès, caméra de surveillance, sécurisation des réseaux d’eau et d’électricité, gestion du trafic.
Enfin, le durcissement ou la mise en place continuelle de nouvelles réglementations stimule l’éclosion de nouvelles solutions de sécurité. Les normes alimentaires de plus en plus strictes, la réglementation environnementale, les normes de sécurité des bâtiments et des véhicules, la protection des données des consommateurs… toutes ces règles stimulent la croissance de sociétés performantes œuvrant dans des domaines aussi larges que les tests alimentaires, les contrôles de la qualité de l’air et de l’eau, les prestataires informatiques ou les équipementiers automobiles.
Quel est votre processus d’investissement ?
Notre objectif est de générer des rendements à long terme en tirant parti des grands changements qui stimulent l’industrie de la sécurité. Nous avons identifié six grandes tendances génératrices de risques, qui soutiennent ce thème : le développement tout azimut de l’économie virtuelle, l’informatisation de l’activité humaine, l’interconnexion entre les individus, les tensions géopolitiques, l’urbanisation rapide, l’aggravation des disparités sociales. Ces « mega-tendances » sont évaluées en permanence par un comité d’experts qui analyse l’évolution des technologies, les politiques publiques, les risques géopolitiques et les modes de consommation. Nos gérants identifient ensuite les sociétés dont l’activité est portée durablement par ces grandes tendances. Nous abordons la thématique sous trois angles différents : les services de sécurité (services de garde et de protection de personnes, gestion des déchets dangereux…), la sécurité informatique (biométrie, systèmes de surveillance et de contrôle d’accès, solutions d’identification, paiement électronique…) ainsi que la sécurité physique (airbags, système de vision nocturne, vidéosurveillance, casques et lunettes de protection…). Pour faire partie de l’univers de gestion de Pictet Security, les entreprises doivent être exposées à ces activités à hauteur d’au moins 20 % de leur chiffre d’affaires ou de leur résultat.
À l’intérieur de cet univers, nous achetons les entreprises au modèle d’affaire le plus robuste, dotées d’avantages compétitifs durables (brevets, innovation, qualité de la fabrication, réseaux de distribution…) et présentant des valorisations attrayantes.
Le portefeuille qui découle de ce processus est composé en moyenne de 50 sociétés, diversifiées géographiquement.
Comme tous les thèmes de croissance, la stratégie a fait l’objet de prises de bénéfices importants cette année ; quels sont les catalyseurs pour un rebond ?
Les marchés ont fortement corrigé depuis le début de l’année. Aux problèmes d’inflation et de hausse des taux d’intérêt, se sont ajoutés les sujets géopolitiques que nous connaissons tous.
Ces événements ne remettent pas en question la réalité de l’enjeu de la sécurité. Le conflit entre la Russie et l’Ukraine a mis en évidence la contribution croissante des cyberattaques aux conflits. À l’avenir, les logiciels malveillants, l’hameçonnage et les attaques contre les infrastructures risquent de se multiplier. Alors que la cybersécurité était déjà une priorité pour les entreprises, nous pensons que les investissements informatiques de protection des données vont continuer à s’accélérer. Par ailleurs, la sécurisation des chaînes d’approvisionnement (fabrication de microprocesseurs, énergie, alimentation) est devenue la priorité des pays occidentaux et nous prévoyons que des dépenses d’infrastructure liées à la sécurité seront déployées à grande échelle. La décarbonisation et la réduction de la dépendance liée aux combustibles fossiles sont plus que jamais une priorité. Cela bénéficiera aux secteurs des bâtiments « intelligents » et à l’industrie des transports électriques qui embarquent une quantité toujours croissante d’éléments de sécurité. Les fortes corrections en revanche ont mis à jour de nouvelles opportunités d’investissement. Nous avons renforcé récemment nos positions sur les entreprises de cybersécurité telles que Palo Alto Network (5,0 % de notre portefeuille) ainsi que sur les entreprises impliquant des produits de sécurité physique comme Termo Fisher (5,0 % du portefeuille) ou Johnson Controls (3,8 % du portefeuille).

Comité de rédaction : Julie Badaoui (Responsable Marketing), Nicolas Budry (Responsable Global Advisory Propositon France), Caroline Bernard (Gérant sous mandat); Arnaud Meleard (Ingénieur patrimonial), Mathieu Moulin (Conseiller en investissement) ; Jean-Michel Starck (Directeur de l’Offre)