Les grandes banques centrales internationales ont remonté leurs taux directeurs de manière significative depuis 18 mois pour faire face à la résurgence de l’inflation. Ainsi la Banque centrale européenne est passée en un an d’une politique de taux négatifs à -0,50 % à des taux fixés actuellement à 3,50 %. Nous pensons que la BCE pourrait encore poursuivre ce relèvement jusqu’à atteindre 4,0 % d’ici à la fin du troisième trimestre 2023, ce qui constituera le pic de sa politique monétaire.
Chère Madame, Cher Monsieur,
Les banques centrales en Europe et aux États-Unis devraient très prochainement atteindre leur pic en termes de hausse des taux. À l’approche de l’été, cela renforce le sentiment des investisseurs dans ces deux régions, dont les marchés affichent toujours de très belles performances depuis le début de l’année. Cet environnement de taux reste, à notre avis, propice à des opportunités intéressantes sur le marché obligataire et accentue l’envie des investisseurs de capturer des rendements attractifs pour les prochaines années.
C’est dans cet objectif que nous lançons, en collaboration avec notre société de gestion HSBC Asset Management, un nouveau fonds daté à échéance fin 2027, qui restera ouvert jusqu’au 15 décembre 2023.
Le contexte de taux élevé a également permis la réapparition de structures à capital protégé à l’échéance au sein de nos produits structurés, tels que les « Callable Fixed Rate Note », venant concurrencer le fonds général et les dépôts à terme. En outre, les coupons des structures plus classiques ont significativement augmenté depuis les 18 derniers mois, période à laquelle les taux étaient encore négatifs.
Après la forte progression des marchés actions en Europe et aux États-Unis, les investisseurs cherchent d’autres relais de performance dans la gestion alternative, qu’ils trouvent notamment auprès d’offres de Private Equity et de dette privée. Dès le mois de septembre, nous vous proposerons des solutions sur ces classes d’actifs, au travers d’un fonds de secondaire en Private Equity et d’un fonds de dette privée émis par deux gérants internationaux de renom. Vos conseillers en investissement se tiennent à votre disposition pour vous présenter le détail de ces offres et répondre à vos éventuelles questions.
Nous avons à coeur d’accompagner nos clients et partenaires acteurs du secteur de la technologie. C’est à cet effet que nous étions présents lors de l’événement incontournable dédié à l’innovation technologique et aux start-up de la Tech, Viva Technology 2023. Ce rendez-vous est toujours une opportunité passionnante de vous accompagner dans la découverte des nouveautés du secteur, notamment celles liées à l’Intelligence Artificielle. C’est aussi en ce sens que HSBC a récemment fait l’acquisition de Sillicon Valley Bank UK, renforçant ainsi notre banque commerciale et notre capacité à servir les entreprises à forte croissance et innovantes, y compris dans la technologie et les biotechnologies à l’international.
Nous vous souhaitons un très bel été et nous réjouissons de vous retrouver à la rentrée pour vous présenter d’intéressantes et nouvelles opportunités sur les marchés et vous accueillir à l’occasion de nos prochains événements que nous ne manquerons pas de vous partager.
Sincères salutations,
Les grandes banques centrales internationales ont remonté leurs taux directeurs de manière significative depuis 18 mois pour faire face à la résurgence de l’inflation. Ainsi la Banque centrale européenne est passée en un an d’une politique de taux négatifs à -0,50 % à des taux fixés actuellement à 3,50 %. Nous pensons que la BCE pourrait encore poursuivre ce relèvement jusqu’à atteindre 4,0 % d’ici à la fin du troisième trimestre 2023, ce qui constituera le pic de sa politique monétaire.
Ce relèvement des taux était justifié car l’inflation avait atteint jusque 10 % au sein de la zone euro et se situait bien au-delà de l’objectif d’équilibre de long terme situé autour des 2 %. Avec le ralentissement attendu de la hausse des prix, les politiques monétaires vont s’ajuster dans les prochains trimestres aux nouvelles conditions de marché. Ainsi aux États-Unis pour le mois de juin, l’inflation n’a progressé que de 3,1 % sur un an glissant, en nette décélération depuis plusieurs mois consécutifs.
Le rapport sur l’emploi du mois de juin a néanmoins mis en évidence des pressions inflationnistes sous-jacentes encore présentes notamment pour les salaires, et le taux de chômage a atteint un niveau bas à 3,6 %. Les créations d’emplois ont été plus fiables qu’anticipées à 209,000 contre 230,000 attendus. Nous anticipons désormais une dernière hausse des taux de la Fed de 0,25 % pour le mois de juillet avant qu’elle n’atteigne son pic de politique monétaire.
Les grandes économies internationales sont en train de ralentir sous l’effet conjugué de la hausse des taux et des difficultés du secteur manufacturier. Notre objectif de croissance du PIB est de 2,3 % cette année après +3,1 % l’année dernière. Les grandes banques centrales sont en train de réussir cet atterrissage en douceur des économies ; les risques de récession semblent s’éloigner et l’inflation qui nous avait inquiété l’année dernière montre des signes d’apaisement. Cet environnement particulier crée une situation inédite depuis longtemps et très favorable au marché des obligations.
Cette classe d’actifs a été délaissée par les investisseurs depuis de nombreuses années ; elle n’offrait que des rendements très bas, voir négatifs ; d’autres alternatives étaient disponibles, notamment les produits structurés et le fonds en euros des compagnies d’assurance-vie.
Après la hausse des rendements obligataires de 2022 et le resserrement des politiques monétaires, cette situation a évolué et le contexte est devenu actuellement plus attractif pour les obligations. Nous pensons qu’un certain nombre de facteurs va soutenir le segment obligataire :
- Le retour de politiques monétaires accommodantes. La menace d’une inflation persistante s’éloigne et il pourrait y avoir trois premières baisses de taux au second, troisième et quatrième trimestres de l’année 2024. Le ralentissement de la croissance américaine et une inflation plus basse ne justifient plus une politique monétaire trop restrictive.
- La bonne résilience des émetteurs de bonne qualité. Nous privilégions les segments obligataires les plus prudents et défensifs et restons prudents par exemple sur la dette à haut rendement même si des opportunités existent. Le ralentissement de la croissance peut affecter les émetteurs obligataires qui voient leur profitabilité se dégrader. Notre choix est de privilégier les groupes de bonne qualité et qui seront capables de rembourser leurs créances même dans un contexte économique plus difficile.
- La détente des rendements de moyenne maturité. La recherche de rendements attractifs va s’accélérer auprès des grands acteurs institutionnels ; ce mouvement va contribuer à la bonne performance à attendre des obligations de maturité moyenne et longue.
Les investisseurs peuvent bénéficier d’un contexte plus porteur pour les obligations à travers des fonds obligataires classiques, ou en utilisant des fonds datés à maturité fixe. Ces derniers ont l’avantage de bénéficier d’une bonne visibilité visà- vis de la performance à attendre.
De nombreux propriétaires ou investisseurs immobiliers font l’acquisition de biens immobiliers, résidences secondaires ou autre, en souhaitant rentabiliser leur placement ou a minima dégager des revenus pour couvrir les charges tout en s’en réservant l’usage une partie de l’année. Se pose alors la question sur les modalités de location du bien. Deux régimes peuvent s’envisager : location meublée ou parahôtellerie. Ce dernier régime, qui peut offrir de réels avantages s’avère pourtant beaucoup plus complexe que la location meublée.
Différence entre location meublée et parahôtellerie
La principale différence réside dans la nature des prestations fournies. La location meublée consiste à louer un logement meublé. À ce titre, l’administration fournit une liste de meubles qu’un logement doit obligatoirement comporter : literie avec couverture, plaques de cuisson, four, réfrigérateur, table, sièges, vaisselle…
Alors que la parahôtellerie consiste à louer un logement meublé en ajoutant des services hôteliers significatifs. La location du logement meublé doit être accompagnée d’au moins trois des prestations mentionnées au 4e-b de l’article 261 D du Code général des impôts (CGI) pour être considérée comme une activité parahôtelière : fourniture du petit-déjeuner, nettoyage régulier des locaux, fourniture de linge de maison et réception, même non personnalisée, de la clientèle.
Ces prestations doivent être rendues dans des conditions similaires à celles proposées dans les établissements hôteliers, exploités de manière professionnelle. Ainsi, l’administration impose que le nettoyage des locaux ne doit pas être effectué uniquement lors du changement de locataire mais effectué de manière régulière. La réception des clients ne doit pas se limiter à la simple remise des clés et la fourniture du linge de maison doit être régulière. L’accueil peut être confié à un mandataire ou à un simple système d’accueil électronique. Et l’exploitant peut faire appel à des tiers pour la réalisation des différentes prestations.
Quel régime fiscal ?
Le régime de parahôtellerie relève des bénéfices industriels et commerciaux (BIC) tout comme la location meublée. Les propriétaires peuvent donc déduire l’ensemble des charges réelles, dont l’amortissement du bien. En outre, si l’exploitant exerce son activité de manière professionnelle, il pourra bénéficier, sous conditions, d’une exonération au titre de l’impôt sur la fortune immobilière, ainsi qu’une exonération de la plus-value à terme. Le bien exploité peut également être transmis sous couvert du régime de faveur Dutreil.
Pour bénéficier du statut de professionnel, l’activité doit remplir plusieurs marqueurs.
Elle doit générer un chiffre d’affaires significatif. La référence souvent retenue est d’avoir un chiffre d’affaires au moins égal aux amortissements. L’exploitation doit être bénéficiaire ou, pour le moins, le devenir après les premières années. La location doit être effective et régulière, tout en prenant en considération le lieu de situation du bien. L’exploitant ou l’entreprise doit disposer de moyens suffisants pour fournir les services proposés.
Enfin, la parahôtellerie est assujettie à la TVA. Il est donc possible pour le contribuable de récupérer la TVA versée lors de l’acquisition (pour les biens neufs ou de moins de cinq ans) et sur les travaux. En contrepartie, le contribuable s’engage à récupérer la TVA sur 20 ans. Si le bien est revendu avant le délai des 20 ans, il devra reverser une partie de la TVA au prorata des années manquantes sauf si le repreneur s’engage à poursuivre l’activité.

Lors de l’acquisition, et d’autant plus s’il y a des travaux importants qui doivent être réalisés et qui vont entraîner un décalage important avant le début de l’exploitation, il est indispensable de formaliser la volonté d’affecter le bien à une activité parahôtelière. Il convient donc de mentionner dans l’acte d’acquisition que l’acquéreur agit en qualité d’assujetti à la TVA et que l’immeuble est destiné à une exploitation de parahôtellerie. Une demande de remboursement de la TVA entraîne un contrôle quasi systématique de l’administration. Il est donc nécessaire d’être rigoureux sur le formalisme, tant dans lors de l’acquisition que durant la durée de l’exploitation ; formalisme des factures, nature de services, taux de TVA…
Cet assujettissement à la TVA peut donc être très favorable au contribuable si le montant de TVA à récupérer est significatif. Mais en cas d’acquisition d’un bien ancien avec très peu de travaux, cela peut être en défaveur de l’investisseur. La TVA alors collectée sur les locations va obérer une partie des recettes.
Attention, en cas d’utilisation pour son propre usage, le propriétaire doit veiller à limiter son occupation personnelle. Si celle-ci est jugée trop importante pour respecter la condition d’habitude de la mise à disposition, l’administration pourrait remettre en cause le droit à déduction de la TVA.

Quelles sont les bonnes questions à vous poser pour détecter une tentative de fraude ?
Comme chaque année nous attirons votre attention sur cette période propice aux tentatives de fraude. Quelles sont les tendances du moment ? Comment limiter les risques ? Votre vigilance reste la clé pour les détecter.

Nos perspectives à mi-année 2023 mettaient en avant l’intérêt de la région asiatique et les anticipations de hausse de ces marchés compte tenu des croissances économiques attendues, tant sur le court que sur le long terme. Ces vues positives étaient partagées par les investisseurs et les entrepreneurs que nous avons rencontrés lors de notre récent « roadshow » en Asie : la dynamique économique est prometteuse et la croissance est structurelle pour les pays de l’ASEAN et de l’Inde. La réorientation de la chaîne d’approvisionnement bénéficie à l’ensemble de ces pays, la consommation intérieure repart et l’Inde profite également de sa rapide digitalisation.
Les données économiques de la Chine ont, pour leur part, été plus mitigées récemment, avec une consommation résiliente mais des vents contraires en provenance du commerce mondial et une situation dans le secteur immobilier qui reste préoccupante. De ce fait, nous avons revu à la baisse notre prévision de croissance du PIB 2023 de 6,3 % à 5,3 %. Néanmoins, le gouvernement et les autorités monétaires semblent clairement déterminés à soutenir la croissance (baisses de taux, mesures de relance). Dans ce contexte, nous réduisons légèrement notre surpondération sur le marché chinois et renforçons notre diversification sur l’ensemble de la zone Asie. Nos marchés préférés sont l’Inde, l’Indonésie, Hong-Kong et toujours la Chine continentale.
Un autre élément clé est l’évolution des politiques monétaires dans les pays développés. Deux aspects caractérisent celle-ci en Occident. Premièrement, même si les banques centrales vont encore procéder à des ajustements à la hausse, la normalisation des politiques monétaires est en cours, le cycle de resserrement est presque achevé, ce qui est favorable au sentiment du marché. Deuxièmement, nous faisons face à une divergence d’évolution des politiques monétaires, ce qui impacte les performances relatives des marchés financiers d’une part et l’évolution du dollar d’autre part. En effet, la Fed a marqué une pause en juin afin de surveiller l’impact des hausses de taux réalisées jusqu’à présent. Nous anticipons néanmoins une dernière hausse en juillet à 5,25-5,5 %. En zone euro, l’inflation reste plus élevée et nous prévoyons deux nouvelles hausses. Cette divergence est susceptible de causer un affaiblissement du dollar face à l’euro et à la livre sterling et une surperformance des actions américaines par rapport à la zone euro et au Royaume-Uni. HSBC maintient une anticipation de parité euro/dollar à 1,15 fin 2023. Les perspectives de taux ont par ailleurs un impact sur les valorisations et le potentiel de croissance des actifs. Elles constituent ainsi l’un des facteurs explicatifs de la bonne tenue des valeurs de croissance et des valeurs technologiques.
En conclusion, nos principales convictions en ce début d’été portent sur trois points principaux.
- Premièrement, bénéficier du potentiel de l’Asie. À l’échelle mondiale, les investisseurs en actions devraient remarquer l’amélioration des fondamentaux économiques et financiers en Asie. L’accélération de l’Asie contraste avec la faible croissance en Occident. Les valorisations sont modérées et les perspectives de croissance bénéficiaires bien plus importantes que celles des économies occidentales. Nous sommes surpondérés sur l’Asie émergente et recommandons de diversifier l’exposition sur la zone Asie au sens large. Au-delà, nous demeurons positifs à l’égard des actions américaines sur le long terme et apprécions la diversité et la qualité des valeurs américaines ainsi que la solidité du secteur technologique. Enfin nous maintenons un positionnement neutre sur les actions de la zone euro qui bénéficient de valorisations toujours attrayantes.
- Deuxièmement, l’opportunité de l’obligataire. Nous nous concentrons sur les obligations de crédit de qualité (principalement investment grade) afin de sécuriser les rendements actuels attractifs. Nous nous attendons également à une appréciation du prix des actifs obligataires parallèlement à la poursuite du mouvement de baisse de l’inflation aux États-Unis et aux inquiétudes persistantes des investisseurs sur l’ampleur du ralentissement économique à venir. Nous identifions également des opportunités au sein de la dette émergente de qualité.
- Enfin, nous recherchons la croissance des valeurs technologiques profitables. Elles bénéficient d’un contexte de taux qui va devenir plus favorable, de l’enthousiasme pour l’Intelligence Artificielle, du développement rapide de ses applications et elles ont la capacité de générer de solides bénéfices. Nous accordons une attention toute particulière à la résilience des business models sous-jacents et à la capacité des entreprises à prospérer même en cas de tensions persistantes sur l’inflation et les taux.
Source : GIC juin 2023
Source : Bloomberg
De fortes convictions thématiques pour le 3e trimestre :
- Reconstruire le futur de l’Asie
La reprise de la croissance en Chine et la résilience que nous observons en Inde et dans les pays de l’Asie du Sud-Est aident à maintenir un bon momentum de l’économie Asiatique, malgré un affaiblissement de la demande globale et des politiques monétaires de plus en plus restrictives en Europe et aux Etats-Unis. En Chine, nous anticipons des mesures fiscales plus accommodantes. Récemment, nous avons surpondéré notre exposition aux actions indiennes. Contrairement au ralentissement économique du monde développé, l’Asie est la seule région où l’on projette une notable accélération de la croissance de 3,5 % en 2022 à 5,1 % en 2023.
- Investir pour un avenir durable
L’Europe est à l’épicentre de la transition énergétique à mesure que la demande s’éloigne du pétrole russe et intensifie le besoin de développer des sources d’énergie alternatives, produites localement. On estime que d’ici 2050 l’Europe aura besoin d’un investissement de $32 Mds pour atteindre ses objectifs de net zéro. Cela crée d’importantes opportunités d’investissement.
- La transformation digitale
Les derniers 12 mois ont enfin dévoilé le potentiel de l’Intelligence Artificielle. La démonstration d’applications dans le quotidien et des gains de productivité qui en découlent, permetten d‘entrevoir l’étendue de la transformation digitale qui nous attend. La révolution numérique entre dans une nouvelle phase d’innovations. Les trois secteurs que nous privilégions :
· La mobilité intelligente (« Smart Mobility ») et véhicules électriques, soutenue par l’Asie et l’Europe
· L’Intelligence Artificielle et l’automatisation qui devraient profiter aux secteurs des services
· L’aérospatial : le rebond des voyages aériens post pandémie est bien amorcé
De plus, plusieurs gouvernements ont augmenté leurs dépenses dans la défense, accentuant les pressions sur les capacités de production et les chaines d’approvisionnement.
- Opportunités dans un contexte de pic de taux et de ralentissement de la croissance dans les pays développés
Les banques centrales américaine et européenne devraient atteindre leur pic en terme de hausse des taux d’ici la fin de l’année. Cela nous attire vers des actions et obligations générant du rendement, notamment les stratégies de haut dividendes. L’autre facette de ces taux élevés est que la croissance devrait commencer à ralentir, ce qui implique que nous privilégions la qualité quand nous investissons sur des obligations et les entreprises avec des revenus solides et résilients sur les marchés actions (par exemple dans le secteur des infrastructures).

Damir BETTINI,
gérant
Un portefeuille de grande qualité conçu pour apporter de la stabilité sur le long terme
Damir, en quoi ce fonds est-il pertinent aujourd’hui ?
Avec l’actualité mondiale de ces derniers mois, il faut s’attendre à ce que le contexte économique demeure incertain.
Potentiel de stabilité et de résilience
Les périodes d’incertitude renforcent l’importance d’une allocation en titres obligataires au sein d’un portefeuille. Notre fonds Global Corporate Bond est particulièrement adapté : avec un portefeuille dédié aux obligations investment grade (c’est-à-dire les obligations avec un rating de crédit BBB- ou plus élevé), et sans allocation active en obligations high yield (c’est-à-dire en obligations ayant un rating inférieur aux obligations investment grade), il est faiblement exposé au risque de crédit, ce qui est source de plus de stabilité et de résilience.
La volatilité peut exacerber les risques
Dans le contexte de volatilité boursière actuel, il est plus que jamais préférable d’éviter un glissement de périmètre volontaire vers des titres plus risqués, car les risques peuvent être amplifiés. Selon nous, les fonds obligataires devraient se comporter comme des fonds obligataires.
Un avantage informationnel
Face à un contexte macroéconomique qui évolue rapidement, la gestion active a toute sa place. C’est d’autant plus le cas pour le fonds Global Corporate Bond, dont le portefeuille est constitué de manière collégiale par une équipe de spécialistes sectoriels, sous la responsabilité du gérant de portefeuille principal. Forts de leur connaissance approfondie des différents secteurs d’activité, nos analystes peuvent réagir rapidement quand le contexte de marché évolue.
Quels sont les objectifs du fonds ?
L’objectif d’investissement du fonds est de fournir, sur le long terme, un niveau de rendement total cohérent avec la préservation du capital et une gestion prudente des risques, en investissant sur le marché mondial des obligations d’entreprise investment grade.
Des résultats de qualité : ce fonds est composé exclusivement d’obligations de qualité investment grade, sélectionnées par notre équipe mondiale de spécialistes sectoriels, à la différence de fonds concurrents qui sont exposés activement au segment high yield. Notre objectif est que l’exposition aux titres investment grade génère des résultats plus stables.
Vision de long terme : en excluant les obligations high yield, plus risquées, pour éviter des gains incertains à court terme, le fonds Global Corporate Bond conserve sa vision de long terme et offre un profil de risque clair au sein du portefeuille d’investissement.
Quels sont les atouts du fonds ?
Des risques réduits et une vision de long terme
Le fonds Global Corporate Bond offre une approche qualitative de l’investissement. En excluant les titres spéculatifs, ce fonds vise à générer de la croissance à long terme en minimisant son exposition au risque de crédit.
Un portefeuille constitué par une équipe mondiale de spécialistes sectoriels
En s’appuyant sur la recherche, produite par notre équipe mondiale dédiée d’analystes d’investissement, pour générer des résultats avec conviction et efficacité, le fonds Global Corporate Bond traduit l’idée en investissement de façon directe.
Sélection de titres basée sur la recherche fondamentale
Grâce à l’accent du fonds sur la recherche fondamentale et à la mise en pratique directe des plus fortes convictions des analystes d’investissement, la sélection de titres et l’allocation sectorielle sont les principaux facteurs de surperformance potentielle du fonds.
Pourquoi investir dans cette classe d’actifs avec Capital Group ?
La recherche fondamentale guide la sélection de titres au sein du portefeuille du fonds Global Corporate Bond. Grâce à la mise en commun de la recherche actions, nos analystes obligataires peuvent acquérir des points de vue différenciés, et 90 % de la surperformance attendue découle de la sélection de titres et de l’allocation sectorielle. L’historique de performance régulier du fonds met en évidence la capacité de Capital Group à investir dans la classe d’actifs des obligations d’entreprise1.
Une stratégie d’investissement de long terme fait partie intégrante de l’approche de Global Corporate Bond.
Pourquoi choisir Capital Group
Grâce à notre processus d’investissement, nos spécialistes mettent à profit leurs plus fortes convictions, tout en limitant les risques liés à la prise de décisions individuelles. La construction du portefeuille repose sur la diversité de leur expertise et de leur expérience.
Rares sont les entreprises en mesure d’égaler la taille et l’envergure de notre effort de recherche. Nos analystes d’investissement effectuent chaque année des milliers de visites de recherche, et combinent ensuite les connaissances collectées avec une analyse macroéconomique pointue. Cette approche est essentielle pour générer des résultats au profit des investisseurs.
Pourquoi les clients devraient-ils envisager d’investir dans le fonds Capital Group Global Corporate Bond Fund (LUX) (« GCB ») plutôt que de conserver des liquidités ?
Les rendements actuels des obligations d’entreprises mondiales de qualité s’affichent à des niveaux élevés, que l’on n’avait pas vus depuis plus de dix ans. On a aussi observé qu’investir au niveau de rendement actuel a historiquement conduit à des rendements totaux attrayants2.
Si l’économie mondiale reste solide et que les spreads de crédit restent relativement stables3, les obligations d’entreprises pourraient générer des revenus encore plus élevés que les dépôts à terme en dollar US4.
En outre, rappelons qu’investir dans des dépôts à terme4 implique une période de blocage, ce qui introduit un risque de réinvestissement (c’est-à-dire que les résultats produits pourraient être inférieurs quand l’argent est réinvesti sur un autre support) en cas de baisse des taux.
Les résultats passés ne préjugent pas des résultats futurs.
1 Au 31 mai 2023. Source : Capital Group ↩
2 Données au 31 mai 2023 en USD. Le rendement historique est basé sur une moyenne des rendements annualisés sur 5 ans de l’indice Bloomberg Global Aggregate Corporate lorsque le rendement initial se situait dans une fourchette de +/-0,3 % par rapport à la valeur actuelle, à partir du 31 mai 2002. Sources : Capital Group, Bloomberg, Morningstar. ↩
3 La différence entre le rendement de deux titres de créance différents ayant la même échéance mais des notations de crédit différentes. ↩
4 Placement à terme qui comprend le dépôt d’argent sur un compte auprès d’une institution financière. ↩
Comité de rédaction : Diane Alexane (Responsable de la Stratégie d’investissement – France et Luxembourg) ; Julie Badaoui (Responsable Marketing), Caroline Bernard (Gestionnaire sous mandat) ; Nicolas Budry
(Responsable de la Stratégie d’investissement); Arnaud Méleard (Ingénieur patrimonial) ; Mino Rasamisoa (Conseiller en investissement) ; Jean-Michel Starck (Directeur de l’Offre)