Bientôt à 7 000 points sur le CAC 40 ? Le mois d’octobre a été marqué par une forte hausse des indices actions. Le MSCI AC s’est adjugé 5,1 % en dépit des vents contraires des ruptures de chaînes d’approvisionnement, de la persistance du dérapage de l’inflation et de l’inflexion « hawkish » de certaines banques centrales.
Aux États-Unis, ni une hausse des prix à la consommation à 5,4 % en glissement annuel et son pendant sur la hausse des anticipations d’inflation, ni le durcissement du discours d’un certain nombre de membres du FOMC, ni l’amaigrissement substantiel de l’enveloppe budgétaire du projet de « Build Back Better Act » de Joe Biden n’ont réussi à enrayer le mouvement. A contrario, plus de 80 % des entreprises qui ont publié leurs chiffres trimestriels ont dépassé les attentes. Les secteurs de la consommation discrétionnaire, des financières et de l’énergie se sont appréciés de plus de 10 %, surfant sur la poursuite de l’ascension du cours du brut.
L’estimation préliminaire du PIB du T3 a déçu (2,0 % en glissement trimestriel annualisé, contre 2,6 % attendu et après 6,7 % au T2). Ce ralentissement est dû en partie à un effet de normalisation après le rebond post-pandémie du trimestre précédent et par les contraintes d’approvisionnement qui ont affecté la demande de biens durables. La croissance au T4 devrait continuer d’être affectée par ces goulots d’étranglement mais la nette remontée du PMI services en octobre (58,2 après 54,9) suggère que la consommation de services pourrait de nouveau accélérer grâce à l’amélioration de la situation sanitaire.
Sur le plan politique, les négociations internes au parti démocrate sur le « Build Back Better Act » semblent avoir progressé. Le président Biden a indiqué le 29 octobre qu’un compromis sur un plan de 1 750 Md$ avait été proposé et qu’il pourrait être approuvé par le Congrès dans la première quinzaine de novembre. Si cela se confirme, le plan d’investissement de 1 500 Md$ sur les infrastructures devrait également être adopté.
La Fed a, comme prévu, annoncé le démarrage de la réduction de ses programmes de rachat à raison de 15 Md$ (10 Md$ de bons du Trésor, 5 Md$ de MBS) en novembre et en décembre. Si ce rythme mensuel devait être maintenu sur les mois suivants, le programme serait ramené à 0 dès le mois de juin 2022. Jerome Powell a en revanche tenu un discours moins « hawkish » que prévu sur les perspectives de hausses de taux en les séparant clairement de la fin des programmes de rachat.
En Europe, paradoxalement avec la hausse des taux, les secteurs des utilities et de l’immobilier ont surperformé, tout comme les banques et les services financiers. Le secteur de l’automobile est resté sur sa lancée de septembre, les publications trimestrielles confirmant le maintien des marges sur des niveaux élevés. Les valeurs de croissance du Luxe sont également reparties de l’avant, portées par des performances commerciales et des niveaux de marges records au troisième trimestre.
La croissance du PIB du T3 zone euro est proche des attentes indiquant que la consommation a été le principal moteur de la reprise, grâce aux effets de réouverture (notamment pour la demande dans les services).
Du côté de la politique monétaire, plusieurs membres de la BCE ont cherché à contredire les anticipations de hausses de taux intégrées dans les prix de marché (avec des hausses intégrées dès 2022-2023), en indiquant qu’il serait contreproductif de réagir de façon trop précoce à une hausse transitoire de l’inflation.
Les marchés actions ont été volatils récemment, les investisseurs recalibrant les valorisations à ces nouvelles réalités économiques. Nous restons positifs sur les marchés bien qu’avec une certaine prudence, car nous identifions plusieurs facteurs de risque :
L’inflation
Début octobre, les prix sur les marchés européens du gaz, du charbon et de l’électricité ont fortement augmenté, en raison d’inquiétudes sur l’approvisionnement de gaz en Europe. Ces prix ont toutefois rechuté grâce aux signes envoyés par le président russe, sur une possible hausse des livraisons de gaz vers l’Europe.
Au-delà de la volatilité des prix du gaz, le prix du baril de Brent a progressé de +7,5 % à 84,40 $ au cours du mois d’octobre.
Cette remontée de l’inflation introduit des risques baissiers sur la consommation des ménages avec des indicateurs de confiance qui se sont un peu repliés. Néanmoins, les mesures prises par plusieurs gouvernements pour limiter l’impact de la hausse des prix (gel des prix régulés du gaz en France par exemple) devraient atténuer les risques de net ralentissement de la consommation des ménages.
La situation en Chine
La recrudescence de l’épidémie en Chine, le maintien d’une forte pression réglementaire et les avatars de la crise Evergrande (même si les autorités ont fait passer en de multiples occasions des messages rassurants sur le sujet) pourraient continuer de peser sur la performance de la zone asiatique.
La situation sanitaire
Le variant Delta a nettement impacté la croissance du 3e trimestre et pourrait continuer de peser sur certains secteurs dans les mois à venir.
Vues au 29 octobre 2021. Les données sont présentées à titre d’illustration seulement et peuvent être soumises à des modifications.
Source : Bloomberg
Notre stratégie d’investissement consiste à rester investi, mais à se concentrer sur la qualité et la résilience du portefeuille. Nous réduisons le caractère cyclique de notre positionnement sectoriel, mais nous restons confiants dans la consommation durable, les financières, la technologie et les télécommunications.
La raison pour laquelle nous restons investis est que nous pensons être dans la phase intermédiaire du cycle, où les bénéfices continueront d’être de qualité, comme nous le voyons déjà dans les dernières publications de résultats. Il est également trop tôt pour que les banques centrales resserrent agressivement leurs taux : elles préparent le marché à une normalisation progressive des politiques.
La raison pour laquelle nous avons opté pour la résilience, par le biais de la diversification de portefeuille, d’une concentration sur la qualité et les grandes capitalisations, et d’une cyclicité quelque peu réduite, est que globalement la croissance économique a ralenti et est devenue moins claire que lors de la reprise initiale.
Les incertitudes restent élevées quand on évoque les perspectives d’inflation. Nous continuons de croire - comme le font les banques centrales - que la hausse de l’inflation est transitoire, dans la mesure où la concurrence mondiale sur les marchés du travail, l’effet de la technologie et les gains de productivité sont déflationnistes. Mais le risque s’est accru que le recul de l’inflation se matérialise plus tard que prévu. Les effets de base sur les prix des matières premières devraient devenir déflationnistes au dernier trimestre, mais avec la poursuite de la hausse des prix du pétrole et du gaz, cela pourrait ne plus être le cas. Les goulots d’étranglement de la chaîne d’approvisionnement sont plus difficiles à résoudre, et les pénuries sur le marché du travail pourraient aussi prendre du temps à se résorber. Si l’inflation reste élevée jusqu’au second trimestre 2022, les marchés pourraient rester plus volatils. Récemment, la hausse des rendements des bons du Trésor a fortement affecté les marchés. Elle a entraîné une baisse des marchés actions, une sous-performance des valeurs de croissance, la faiblesse de l’or et la vigueur du dollar.
Ainsi, tout en restant investi, nous voulons gérer les principaux facteurs de risque. Dans la mesure où les questions liées à la chaîne d’approvisionnement sont probablement la première préoccupation, nous avons progressivement réduit notre allocation aux valeurs industrielles au cours des derniers mois, ce secteur étant plus exposé que d’autres. Nous réduisons légèrement les valeurs industrielles européennes et asiatiques ce mois-ci. En Asie notamment, nous devenons plus prudents quant aux perspectives de bénéfices des secteurs industriels à forte intensité énergétique, dont l’acier et l’aluminium, car leurs marges bénéficiaires sont comprimées par la hausse des prix du charbon, la hausse des coûts de l’électricité et les réductions de production qui en découlent. Les deux réductions sectorielles régionales se traduisent désormais par une légère sous-pondération dans les valeurs industrielles mondiales. Nous avons également ramené les actions britanniques à neutre; l’inflation s’est accélérée en raison de tensions importantes sur la chaîne d’approvisionnement et le marché de l’emploi.
Un autre facteur d’inquiétude a été la combinaison du ralentissement économique en Chine, des changements réglementaires et du désendettement dans le secteur immobilier. Même si nous pensons que la correction des marchés actions et obligataire a créé de la valeur à long terme, nous pensons que le manque de visibilité actuel favorise une plus grande volatilité. Nous maintenons donc notre vue neutre sur les actions chinoises et sur la dette obligataire en devise forte pour l’instant.
Nous passons à neutre également sur la dette émergente en devise locale. Une grande partie de la volatilité de cette dette provient de la composante devise, et nous pensons que le dollar va encore se renforcer au cours des prochains mois, en raison des anticipations croissantes de hausse des taux de la Fed et des défis posés à l’appétit mondial pour le risque.
Nous avons décidé d’augmenter notre allocation dans la gestion alternative. Nous pensons que les rendements des marchés actions vont baisser, qu’ils seront plus erratiques, dans un contexte d’incertitude économique plus élevé. En ajoutant de la gestion alternative dans les portefeuilles, nous réduisons la volatilité globale du portefeuille.
Si l’on considère les performances historiques, la gestion alternative est efficace pour gérer les mouvements de baisse. Les marchés actions enregistrent des variations baissières plus importants dans leurs trimestres négatifs que dans leurs trimestres positifs. Pour les fonds alternatifs, c’est le contraire, et c’est un élément précieux dans l’environnement actuel.
La gestion alternative présente un ensemble d’opportunités très intéressantes. L’activité de fusionsacquisitions est soutenue et sur les marchés de taux et de changes les différentes politiques des banques centrales vont créer de nombreuses opportunités. Sur les marchés de l’énergie et des matières premières, les déséquilibres offre/demande créent des opportunités d’arbitrages.
Comment voyez-vous l’environnement actuel du marché et les perspectives dans un monde post-COVID ?
Pour dire les choses simplement, une politique fiscale et monétaire sans précédent, associée à la confiance des consommateurs et des entreprises dans un pays totalement ouvert, a été un puissant remède pour l’économie. Cela devrait continuer à contribuer à une croissance solide du PIB et des bénéfices, car un consommateur confiant est l’ingrédient clé d’une économie dirigée par les consommateurs.
Le Covid-19 pourrait être l’un de ces rares événements de l’histoire qui a la possibilité de remodeler complètement le paysage géopolitique, l’influence du gouvernement, le comportement des consommateurs et des entreprises et les marchés financiers. Les problèmes liés à la chaîne d’approvisionnement vont considérablement accroître les tensions géopolitiques liées aux emplois manufacturiers, à la sécurité de l’approvisionnement, à la technologie et aux brevets, ainsi qu’aux risques liés à la vie privée. Cela entraînera probablement un déplacement beaucoup plus rapide que prévu de la fabrication vers des pays producteurs à faibles coûts comme la Chine. Nous pensons que les chaînes d’approvisionnement mondiales seront réorientées vers une plus grande dépendance à l’égard de la fabrication locale, qui peut être plus coûteuse mais probablement plus fiable. Il ne s’agira plus uniquement de trouver la solution la plus économique. Les investisseurs chercheront probablement à investir dans des entreprises où les clients finaux sont non seulement disposés et capables de dépenser pour ce qui est offert, mais où les entreprises sont capables de gérer efficacement leurs chaînes d’approvisionnement pour répondre aux demandes du marché de manière rentable et économique.
Y a-t-il des tendances que vous observez sur le marché aujourd’hui et comment investissez-vous dans ces tendances ?
Nous observons un grand changement séculaire dans la façon dont les entreprises utilisent la technologie. Les entreprises comprennent que pour rester compétitives dans ce nouvel environnement, elles doivent valoriser l’importance stratégique de la technologie en tant que composante essentielle de l’activité, et pas seulement comme une source d’efficacité économique. Cette évolution se manifeste sur plusieurs fronts : dépenses d’investissement importantes en matière de technologie, stratégies de commerce électronique, passage des entreprises au «cloud», modèles commerciaux de vente directe aux consommateurs et applications logicielles qui s’étendent à toutes les entreprises. Les options technologiques et la manière dont elles sont fournies sont tout simplement incroyables. Ce qui nécessitait autrefois des locaux dédiés, des employés qualifiés et beaucoup de temps peut désormais être réalisé à distance via le cloud ou par des entreprises spécialisées qui facturent un abonnement pour un service. Les entreprises ont plus d’options, car elles peuvent s’offrir les technologies les plus récentes et les plus performantes sans avoir à engager de grosses dépenses initiales. Cela libère des liquidités pour des investissements et d’autres projets susceptibles de générer des revenus et une croissance rentable.
Nous investissons dans des entreprises qui ont émergé avec des avantages concurrentiels plus forts, car elles tirent parti d’un rythme accéléré de changement séculaire. Nous considérons ces entreprises comme des «faiseurs de résultats» et non des «preneurs de résultats». Nous pensons que l’expérience de la direction, les stratégies avant-gardistes, la structure et l’allocation prudentes du capital n’ont jamais été aussi importantes.
Il semble y avoir une absence de consensus sur la trajectoire de l’inflation et sur son caractère temporaire ou permanent. Quel est votre point de vue sur le débat actuel sur l’inflation ?
Pour la première fois depuis plus d’une décennie, nous traversons une période d’inflation plus élevée et de nombreux experts estiment que l’inflation pourrait être «plus forte et plus longue», étant donné que toutes les mesures de relance et les dépenses budgétaires sans précédent ont des conséquences. Premièrement, la demande a été plus forte que prévu, en partie grâce aux mesures de relance budgétaire. Ensuite, l’offre a été limitée par une série d’événements particuliers. Les réductions de production dues à la pandémie et les changements dans les modèles de demande ont créé des pénuries de tout, des semi-conducteurs aux voitures d’occasion en passant par le bois et les ailes de poulet. En outre, de nombreux travailleurs qui ont quitté la population active n’y sont pas encore retournés, même si leurs allocations de chômage ont expiré. Les salaires augmentent et nous avons vu des entreprises comme Target Corp. et Amazon.com Inc. augmenter les salaires de plus de 15 % par an. L’indice des prix à la consommation aux États- Unis a augmenté de 5,3 % en août par rapport à l’année précédente. Les prix des voitures d’occasion ont augmenté de 31 % et ceux de l’essence de 30 %. L’idée est que les mesures de relance massives combinées à une demande sans précédent pourraient entraîner une explosion de la demande supplémentaire qui dépasserait de loin l’offre mondiale, ce qui entraînerait une hausse durable de l’inflation.
D’un autre côté, à l’approche de l’année prochaine et au-delà, de nombreux économistes pensent que la rapidité des progrès technologiques, la mondialisation et la transparence des prix (en grande partie grâce à Internet) permettront de contenir à nouveau l’inflation. La pression à la baisse sur les prix exercée par la technologie, la mondialisation et la concurrence continuera à limiter l’inflation à long terme. Nous sommes aux premiers stades d’un cycle d’investissement décennal axé sur la technologie, centré sur les données et la numérisation, qui permettra aux entreprises de mieux comprendre, d’améliorer leurs résultats et de stimuler la productivité. À l’horizon 2022, il est possible que la pression à la hausse sur l’inflation exercée par les chaînes d’approvisionnement tendues, les catastrophes naturelles dans le monde et les augmentations de prix liées à la réouverture s’atténue. En outre, la quantité d’»argent dans le système» diminuera, en raison de la fin des chèques de relance et de la baisse des dépenses fédérales, ce qui réduira certains vents contraires à la demande excessive. La volonté de financer le montant croissant de la dette publique par des augmentations d’impôts à long terme sera également utile pour contenir les attentes inflationnistes. Selon nous, la politique budgétaire reste la clé de l’inflation à long terme.
Nous continuons à rester équilibrés à court terme sur ce débat et nous nous concentrons sur la dynamique propre à chaque société, où les forces séculaires et la croissance des bénéfices l’emportent sur tout vent arrière cyclique à court terme.
Orientation de gestion
Le fonds Neuberger Berman US Long Short Equity vise à augmenter la valeur de vos actions tout en cherchant à préserver le capital principalement en prenant des positions longues et des positions synthétiques courtes dans des actions et des titres liés à des actions, cotés ou négociés sur les marchés d’actions américains. Le fonds peut également, mais dans une moindre mesure, prendre des positions longues et des positions synthétiques courtes dans des actions, des titres liés à des actions et des fonds négociés en Bourse (« ETF ») sur des marchés reconnus (tels que définis dans le Prospectus), situés dans les pays représentés dans le MSCI ACWI (All Country World Index).
Points clés
- Un fonds géré selon une approche fondamentale pour identifier des sociétés attractives avec des niveaux de valorisations intéressants.
- Une gestion dynamique de l’exposition brute et nette aux marchés Actions US afin de s’adapter rapidement à de nouvelles conditions de marchés (l’exposition nette a historiquement évolué entre 30% et 60%)
- Un fonds adapté aux investisseurs souhaitant sur le long terme des rendements proches de celui des Actions avec une volatilité inférieure.
- Un portefeuille diversifié avec environ 50 positions longues et 20 positions short
Caractéristiques
Code ISIN : IE00BVYJ5W68 (Catégorie de Capitalisation USD A)
Devise part : USD
Forme juridique : UCITS
Indice de référence : S&P 500 Index (Total Return, net d’impôt, USD)
Frais courants : 2,50%
Profil de risque
Ce Fonds se classe dans la catégorie 4 en raison de son niveau de volatilité historique. La volatilité historique est calculée sur la base des rendements hebdomadaires durant une période de 5 ans. Le Fonds investit dans des titres de créance dotés d’une notation de crédit moyenne ou basse dont le cours peut varier de manière significative d’un jour à l’autre en raison d’un certain nombre de facteurs.
Principaux risques
Risque de marché
Risque de liquidité
Risque de contrepartie
Risque de crédit
Risque lié aux taux d’intérêt
Risque lié aux dérivés
Risque opérationnel
Risque de change
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Les investisseurs doivent lire le prospectus et le Document d’information clé pour l’investisseur (DICI) qui sont disponibles sur : www. nb.com/europe/literature. Des informations supplémentaires sur les risques, les objectifs d’investissement, les frais et dépenses et d’autres informations importantes sur le fonds sont disponibles dans le prospectus. Aucune recommandation ou conseil n’est donné quant à l’adéquation d’un investissement ou d’une stratégie à un investisseur particulier.
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L’attention des investisseurs est attirée sur le fait que ce fonds présente, au regard des attentes de l’Autorité des marchés financiers, une communication disproportionnée sur la prise en compte des critères extra-financiers dans sa gestion.